La première foire internationale dédiée à la photographie, se tient chaque année au cœur de Paris depuis 1997. Son objectif principal est de promouvoir le développement et le soutien de la création photographique en mettant en avant le travail des galeristes, des éditeurs et des artistes.
C’est l’un des événements culturels incontournables de la capitale : Paris Photo revient pour une 27e édition du 7 au 10 novembre 2024. Pendant 4 jours, professionnel·les, artistes, collectionneur·ses et amateur·rices se retrouvent au Grand Palais autour d’un programme 100% consacré à la photographie.
« Échappées industrielles », exposition visible en mairie de Billom jusqu’au 8 novembre, est le résultat d’un travail photographique sur l’architecture industrielle du XIX e siècle, réalisé par des élèves des collèges de Billom, d’Olliergues et de Puy-Guillaume, sous la direction artistique de Marielsa Niels et Henri Derus (*).
Le thème de travail de la semaine est la photo de rue.
Chaque membre du club a présenté sa représentation, ce qui a donné lieu à des échanges et a permis de définir plus précisément le sujet. Ici les photos présentées par les adhérents.
Merci aux nombreux visiteurs qui sont venus découvrir notre exposition photographique « 4 images en liberté ». Le podium des votes du public est le suivant :
Samedi 11 mai, sortie printanière pour aller découvrir quelques spécimens peu connus d’orchidées dans un joli coin du département ! Accompagné de nos amis Anne Marie et Christian passionnés d’orchidophilie et de botanique.
C’est avec grand plaisir que nous avons reçu Roland Avard.
Qui mieux que lui peut le présenter?
Pour moi la photographie est véritablement un mode d’expression. . Mon intention n’est pas de montrer des paysages, mais de traduire mes ressentis, mes émotions lorsque je me promène. Mes images sont l’expression de quelque chose qui m’est propre, à travers une scène de la nature.
Ce n’est donc pas la recherche d’un grand spectacle visuel, d’un paysage à couper le souffle qui me motive, mais une rencontre : la mise en harmonie entre un sentiment qui m’habite et un environnement banal, immédiat qui fait partie de mon quotidien. Comme le bien aimé fait étinceler les yeux de son amoureuse, mes émotions me permettent d’exprimer l’incroyable beauté de ce que nous ne voyons plus à force de le côtoyer.
Mon travail photographique poursuit donc deux objectifs : traduire visuellement des émotions, et les partager. C’est un tel bonheur, et en même temps tellement gratifiant, de voir quelqu’un ressentir quelque chose en regardant ce qui moi-même m’a ému, même si c’est pour des raisons différentes.
Ce caractère très personnel de mon travail m’oblige à constamment rechercher les mots et la grammaire qui me correspondent le mieux quels que soient les sujets abordés (scène d’hiver, ou d’automne, macro…..). Roland AVARD
Sabine Weiss, la photographe “qui faisait exister les gens”
La doyenne des photographes humanistes est morte ce mardi 28 décembre, à l’âge de 97 ans. Désignée femme photographe de l’année en 2020 par le prix Women in Motion, Sabine Weiss publiait la même année un livre où l’on retrouvait ses images intimes qui “désormais appartiennent à l’histoire”. À cette occasion, elle avait accordé un entretien à “Télérama”. Flash-back.
Elle avait exposé à Nevers de Novembre à début Décembre, sans doute la dernière exposition de ses œuvres de son vivant.
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